voilà la suite :
DOLMEN II _ EPISODE I _ SECONDE PARTIE[i]
Tous ensemble ils prirent le chemin de l’hôtel où une surprise de taille attendait les jeunes amoureux …[/i]
Marie s’étonna que de trouver l’hôtel désert, aucun réceptionniste pour les accueillir, devant l’étonnement de sa fille Jeanne jugea bon de s’expliquer.
Jeanne : Je me suis dit que je devrai peut- être travailler ici , cela ne me fait pas de mal et puis de cette façon quand ton père part en mer je me sens un peu moins seule dans ce lieu je pense que tu comprend pourquoi ..
Marie : Mais ton travaille chez les Kersaint toi qui l’aimait tant !!
Jeanne : Tu verra que beaucoup de chose ont changé ici , mais pour ton information j’y travaille tous les matins, nous avons conservé le même personnel mais la réceptionniste ne vient plus qu’à mi-temps . J’espère que cela te suffit !
Le ton sec de la réponse fit comprendre à Marie qu’elle ne devait pas insister. Mais malgré elle son instinct de flic reprit le dessus et à en voir le regard de Lucas elle compris que lui aussi avait quelques début de soupçons. Après tout si sa mère n’avait rien à cacher pourquoi était elle si évasive et agressive ?
Se forçant à évacuer ses interrogations la jeune flic se ressaisit en pensant qu’elle était en vacance et tout en rejoignant ses proches vers le petit coin salon elle songea à la surprise qu’avait évoqué sa mère pour elle et Lucas.
Et tout en s’affalent sur le sofa tout près de son amour, et se blottissant dans ses bras elle se laissa abandonner à ces retrouvailles en savourant une coupe de Champagne.
Au fil du temps qui passait Marie commença à questionner sa mère sur ce qu’était devenu le chantier maritime de Gildas.
Jeanne : Je ne voulais pas t’en parler si vite mais une fois encore tu me prend au dépourvu, le chantier Maritime est désormais ou plutôt toujours à la garde de Christian Bréhat !
Devant cette nouvelle Marie ne pus retenir une petite grimace en signe d’agacement
Marie : Mais je croyais qu’il était partit vivre à Quimper avec sa nouvelle copine !
Jeanne : Il est temps pour toi d’aller te coucher, il se fait tard et la journée à du être éprouvante, demain quelque chose de grandiose t’attend, dors bien ma fille .
Le jeune couple prit donc congé des parents de Marie et prirent la direction de l’ascenseur pour rejoindre leur chambre. Celle-ci demeurait un peu perplexe vu la tournure de ces retrouvailles avec sa mère mais elle était aussi un peu songeuse se demandant toujours quel était cette surprise grandiose qui l’attendait !
Les deux flics n’ayant rien mangé depuis la veille décidèrent de se préparer un bon petit plat puis rejoignirent le grand lit baldaquin de la petite chambre .
Le lendemain matin, lorsque Marie se réveilla il était près de 10h30 du matin , elle fût un peu surprise de ne pas trouver Lucas près d’elle et dans un élan de courage se dégagea des draps.
Après s’être rapidement habillé et douché elle descendit jusqu’à la réception ; déserte elle aussi. Elle aperçut une ombre derrière le comptoir, et tout doucement avec les réflexes du flic qu’elle était elle s’approcha de celui ci.
Une jeune femme blonde en sortit, un couteau maculé de sang à la main, Gwen ! s’écria Marie. Tout d’un coup d’autres personnes apparurent de nulle part, tous avec un long couteau ensanglanté, elle laissa échappé un grand cri aigu en reconnaissant Gildas, Loïc, Arthus de Kersaint, Yves et Chantal Le Perec mais aussi son cousin Nicolas et la vieille Yvonne le Bihan .
Tout se mis à tourner autour d’elle, une vague de sang l’engloutit, la replongeant au plus profond de ses peurs.
D’un coup sec une des lames s’abattit sur elle.
Marie, Marie !! je t’en supplie réveille toi , Marie !
Elle se redressa en sursaut dans son lit ; en pleurs, et se jetant dans les bras de Lucas qui tentait de lui faire retrouvé la raison elle déclara :
« Le cauchemar continu »
Ses grands yeux verts devinrent si vitreux qu’un instant Lucas cru tenir un cadavre dans ses bras.
Il la rallongea et tendrement la caressa jusqu’à ce que la jeune femme sèche ses pleurs et se replonge dans un sommeil moins agité.
Au bout de quelques heures, Ne pouvant se rendormir Lucas décida donc de se lever, il fit quelque pas dans la pièce lorsque son regard fut attiré par un objet brillant juste à coté de la petite table de nuit en marbre, il n’eut nul besoin de s’approcher pour deviner la nature de cet objet.
Son intuition était bonne c’était bien un long couteau, la lame fine et fort bien aiguisé donnait à celui-ci un certain charme, le manche sculpté indiquait qu’il s’agissait sûrement d’une pièce de collection, le capitaine du DCR mit un gant et sans faire de bruit glissa le couteau dans un petit sac plastique afin que celui-ci soit examiner par le labo , son intention fut retenue par une inscription sur la partie droite de la lame, dans la pénombre de la pièce il ne pus pas distinguer les mots mais à première vue cela semblait être du Breton !
Lucas : Fichu île ! Même un an après faut encore qu’elle me casse les pieds ! Et puis quelle idée de ne pas pouvoir parler la même langue que tout le monde ! Si j’avais su j’aurais pris option Breton plutôt que Latin au collège !
Lucas était tellement occupé à bougonner dans son coin après ce fichu couteau qu’il n’aperçut même pas la silhouette de la personne qui se tenait désormais derrière lui …
Voilà j'en ai encore un peu mais je vous laisse d'abord lire ce bou là !
bisous et merci de me lire !