cela orai été domage denlever de dolmen 2 l'esprit Pm ! lol
Sinon exprès pour vous je viens de finir la 6ème partie :
DOLMEN II _ EPISODE I _ CINQUIEME PARTIE Marie fit crisser les pneus en s’arrêtant à l’entrée du musée. Ils se dirigèrent vers la grande porte en bois. Lucas : cet endroit n’a pas changé, il est toujours aussi lugubre !
Marie : pff
Lucas : Bah quoi !
Marie : allez vient !
Lucas : Bon alors tu m’expliques !
Marie : Comme tu le sais au XVIII ème siècle la Mary Morgane était le seul bateau de pêche assurant la subsistance des habitants de l’île. Mais un jour elle ne revînt pas de sa campagne de pêche, laissant les habitants en proie à la famine.
Lucas : Oui oui et 6 personnes ont décidé de naufragé des bateaux etc.… Je connais l’histoire !
Marie : Bien puisque que tu le prend comme ça avançons !
Un grand coup de tonnerre se fit entendre au moment où les deux compagnons étaient sur le point de changer de salle.
Lucas : Comme au bon vieux temps !
Marie : Qu’est ce que tu peux être cynique des fois ! Donc comme tu le sais le chef des naufrageurs n’était autre que l’ancêtre Erwan Marie de Kersaint.
Lucas : Et …
Marie : Ce que Erwan Marie ne savait pas c’est que le nom du bateau de pêche était en honneur à ses deux sœurs : Mary et Morgane qui furent à 75 % donatrices pour la fabrication de celui-ci et que le soir du naufrage elles étaient à bord et périrent avec les autres marins ; on avait fait croire à ce Kersaint qu’elles étaient toute deux partis sur le continent.
Et la légende raconte que tous les soirs de tempêtes elles rodent sur la lande et autour de la crypte des naufrageurs. Certains prétendent même les avoir vu jurer sur leurs tombes que leurs vengeances seraient terrible et que le sang coulera sur les Kersaint et leurs descendants.
Lucas : intéressant ; on progresse !
Marie : Et ce n’est pas tout : encore une fois selon la légende les quatre pied du dolmen se mirent à saigner au moment du naufrage, simultanément. Les anciens prétendent que chaque pied comporte un signe exactement comme sur les six menhirs !
Lucas : Mais si elles ne sont que deux comment cela se fait t’il que quatre pieds saignent ?
Marie : Elles étaient toute deux enceintes, l’une d’un ancêtre des Le Bihan et l’autre d’un Kermeur.
Lucas : Bah dit donc, c’est animé par ici !
Marie : Ne plaisante pas avec ça ! La rumeur raconte que les forces de l’Ankou auraient punirent toutes les personnes osant se moquer de cette légende !
Lucas : De mieux en mieux ! Je croyais avoir tout vu avec toi et bien je m’aperçoit que j’en suis qu’au début !
Marie : Tu n’en as pas …
Marie fut arrêté dans son élan par une coupure d’électricité !
Lucas : Ne me dit rien je connais le chemin du disjoncteur ! Un petit sourire ironique apparut sur ses lèvres !
« Ah le bon vieux temps » s’exclama t’il juste assez fort pour que les oreilles de Marie puissent percevoir ce nouveau pic.
Soudain le visage de Marie blêmit, elle ne rêvait pas, elle en était à présent sur ; le cauchemar recommençait ! Une nouvelle phrase lumineuse apparaissait sur le mur du musée :
Pour Morgane le très haut jugera
Et des quatre maintiens du géant
Le sang coulera.
D’un coup la lumière réapparut et avec elle le petit flic tout joyeux d’avoir su faire marcher l’antique disjoncteur.
Lucas : Marie ça va bien ? Tu n’as pas l’air dans ton assiette ?
Marie : Tu l’as vu ?
Lucas : Vu quoi ?
Marie : la phrase lumineuse au plafond !
Lucas : Une nouvelle phrase lumineuse ! Oui, oui, oui ! Bravo ! J’ai faillit y croire ! C’était pas mal comme vengeance à mes petites vannes ! Allez vient on rentre !
Marie : c’est pas une blague j’ai vu cette phrase je le sais ! Je ne suis pas folle !
Lucas : Ecoute tu es très fatigué ça ne fait qu’une semaine que tu as accouché et puis cet histoire, tous ses morts cela t’a fait un gros choc je comprend que...
Marie : non justement tu ne comprends rien !
Lucas : Marie !!
Marie : Arrête j’en ai marre que tu me prennes tout le temps pour une débile ! C’est lassant à la fin !
Et sur ses mots elle tourna les talons, Lucas eut juste le temps de se précipiter dans l’entrée pour voir la méhari rouge disparaître au loin, sous la pluie. Cela n’était pas sans rappeler une certaine soirée il y a maintenant plus d’un an.
Lucas : Ce n’est pas de ma faute si je ne crois pas à tout ça moi ! Ah la la fichu Bretonne !
Et comme il l’avait fait auparavant il prit son courage à deux mains et surtout à deux jambes pour redescendre à l’hôtel des Kermeur ! Coup du destin : Il portait de nouvelles Weston toutes neuves !
A ce moment précis il ne se doutait pas qu’un phénomène allait aujourd’hui, dans cette nuit noire par ce froid glacial et par cette pluie fine (spécialité bretonne) ébranlé toutes les convictions avec lesquelles il avait grandi, celles qui chaque jour le rendait un peu plus fort.
En arrivant au niveau des menhirs, Lucas aperçut un point vert sur le dolmen, intrigué par cette étrange source lumineuse il s’y précipita. Une phrase y apparue très clairement et pour une fois elle n’était pas en Breton !
Pour Morgane le très haut jugera
Et des quatre maintiens du géant
Le sang coulera
Marie avait donc raison pensa t’il ! Tout recommençait et cette fois sa fille était le milieu de cette histoire ! D’un geste il saisit son portale dans la poche de son ex veste neuve et composa le numéro de Marie ; malheureusement pas assez vite ! Il reçut un violent coup derrière la tête et s’affala près du dolmen ; inconscient !
Marie n’eut su pourquoi elle venait de se réveillé si brutalement, une douleur lui parcoura la tête et sans se poser la moindre question, guidée par un instinct inconnue elle se dirigea vers la porte de sa chambre, en sortit en courant et dévala les escalier de l’hôtel.
Elle sauta dans sa voiture avec une agilité remarquable et partît en direction du site ; en direction des menhirs. Pourquoi ? Elle l’ignorait ! Une force invisible semblait la contrôlée.
Ne prenant même pas le temps d’éteindre le contact elle se précipita vers le dolmen où se distinguait dans la nuit deux frêles silhouettes.
Marie reconnut vite que la personne étalée sur le menhir n’était autre que Lucas et celle à coté était …
Marie : Christian !!!
Christian : Bonjour Marie !
Marie : Qu’est ce que tu as fait à Lucas ?
Christian : Je te rassure il est pas mort j’ai vérifié son pou !
Marie : Pourquoi tu as essayé de le tuer !
Christian : je te jure que je n’y suis pour rien je viens juste d’arriver, je me suis engueuler avec Anne et j’ai eu besoin de prendre l’air !
Marie restait méfiante elle n’avait pas oublier qu’il avait tenter de la violer 14 mois plus tôt !
Marie : est qu’est ce qu’il me le prouve !
Christian : Sur notre histoire et notre ancien amour je te le jure Marie.
Un faible gémissement à peine audible firent sortir de leur mini querelles Christian et son ex femme !
Lucas ! s’écria Marie surtout ne bouge pas trop je vais appeler des secours, t’inquiète pas !
Lucas : Ma … Marie je … tu, tu as raison, la phrase elle, je, je les vu Marie.
Marie : Chut mon amour calme toi, je suis là.
Ces mots firent réagir le skipper qui compris réellement les sentiments de sa Marie et étrangement toute ses rancoeurs disparurent laissant place à une grande amitié, il avait l’impression qu’il était un peu guéri, bien sur il l’aimait toujours, cette femme magnifique si majestueuse dans son esprit .
Christian : pardonne moi Marie, je t’en prie pardonne moi et laisse moi t’aider.
Elle ne pus refuser ce coup de main et tous deux aussi complice qu’ils l’avaient été dans leur enfance ils transportèrent Lucas à l’intérieur de la voiture de Marie.
Marie : Merci beaucoup pour ton aide.
Christian : De rien c’était sincère.
Sans aucun arrière pensé Marie embrassa Christian sur la joue et le serra dans ses bras comme le signe d’une nouvelle chance.
Le lendemain matin Lucas se réveilla, son corps était si lourd et son esprit si embrouillé qu’il ne pu réagir aux caresses de Marie. Tout doucement il commença à se réveiller, sa vue devenait de moins en moins troubles dévoilant à ses grands yeux bleus le radieux visage de sa femme.
Son sourire lui redonna tout de suite des forces et se releva dans un élan .
Marie : Alors commandant assez fainéanté ?
Lucas : désolé de ne pas t’avoir cru pour la phrase maintenant je sais que tu as raison … comme toujours !
Marie : Allez debout, tu m’expliquera en chemin comment un si brillant et rationnel flic s’est retrouvé allongé sur un dolmen dans les vaps après avoir vu une mystérieuse phrase lumineuse !
Lucas : En chemin pour aller où ?
Avec un petit rire elle l’abandonna sur cette dernière question et prit le chemin de la sortie de l’hôtel.
Une vingtaine de minutes après Lucas arriva.
Lucas : Alors Où vas t’on ?
Marie : D’abord on peut passé voir Morgane, puis direction le château des Kersaint et si on n’y arrive pourquoi pas manger au poste de police et commencer notre enquête ?
Lucas : Qu’est ce qu’on attend pour y aller alors ?
Et dans un petit rire la voiture démarra vers le port de Ty Kern où se trouvait la petite maison des Kermeur, sans prendre la peine de frapper Marie entra et de suite aperçut le berceau de son enfant, précédé de Lucas elle se dirigea vers lui mais sa surprise fut grande lorsqu’elle le trouva vide ! Lucas se précipita vers les étages. Marie le suivît elle resta sans voix à la vue du spectacle qui s’offrait à elle …
Bisous à tous