Dolmen 3 par les Dolméniens.

Date d'inscription : 01/01/1970

Lorsqu'il eut franchit la porte, Jeanne lui demanda s'il avait besoin de compagnie, mais celui-ci refusa et déclara qu'il préférait rester seul un moment. Jeanne et Millic entrèrent dans la chambre de Marie tandis que Lucas sortait de l'hôpital. Il prit la direction de l'appartement de Marie, qui était devenu aussi son appartement, et lorsqu'il fut rentré, il s'allongea sur le canapé du salon et des larmes commencèrent à couler sur ses joues ; Marie était enceinte, mais avait perdu son enfant. Tout en pensant à ce qui venait de se passer, il finit par s'endormir.

Date d'inscription : 01/01/1970

Marie ne dormit pas très bien cette nuit là. Elle s'en voulait de ne pas avoir pu parler à Lucas.
Se retournant dans tous les sens, elle essaya de trouver tant bien que mal le sommeil. En vain.
En repensant à tout ce qui s'était passé la veille, des larmes coulèrent de ses yeux, sans qu'elle ne s'en rende compte.

3h40. Lucas émergea comme s'il sentait la douleur de Marie à distance.
Sachant d'avance qu'il n'arriverait pas à se rendormir, il se leva pour boire un café.
Il se promit qu'il irait voir Marie dès les premières visites matinales.

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L'hôpital était immense, les patients se mélangeaient aux médecins, les visiteurs aux infirmières et Lucas fut dans l'impossibilité de se rappeller exactement où se trouvait Marie. Il joua de son grade et informa le chef d'hôpital qu'il désirait voir son collègue de suite.

Marie était endormie lorsque Lucas entra. Sans faire aucun bruit, il s'approcha d'elle en se retenant de l'embrasser tant sa mimique était splendide. Elle avait gardé sa bouille d'enfant mécontent de dormir. Ses lèvres étaient gonflées d'indignation, son nez plissé et ses joues nen furent que plus rondes. Il l'embrassa tendrement et c'est à ce moment là qu'il trouva le mot :

Comme la Marée,
la Vengeance attend son ascension.

Lorsque les Mouettes se tairont,
les Phares s'éteindront
et les Bateaux s'en iront,
Gwenolé vengera de sa main,
sa fille bien aimée.

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Les lettres étaient manuscrites et le mot n'était pas signé.
"Qu'est-ce que c'est que ce truc ?!", s'interrogea Lucas.
Une infirmière entra. Il rangea rapidement le papier dans sa poche.
- Tout va bien ?
Il acquieça et l'infirmière s'en alla.

Ce mot contrariait Lucas. Devait-il en parler à Marie ? Dans son état, pourrait-elle mener une enquête impliquant intimement l'un deux ? Et d'ailleurs, pourquoi s'était-elle évanouie ?

Tant de questions auxquelles il n'eut pas le temps de répondre : Marie se réveillait doucement.

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- Lucas, Lucas, une ombre, ...
- De quoi parles-tu ma chérie ?
- Une ombre est venue me voir.
- Une ombre, un fantôme quoi, demanda ironiquement Lucas.
- Oh, ça va, même quand je suis à l'hôpital tu trouve le moyen de te moquer de moi !
- Ne perdons pas les vieilles habitudes, lui répondit Lucas avec un sourire gourmand.

Il essayait de dérider Marie, afin qu'elle ne recommence pas à cauchemarder chaque nuit. En la voyant se lever boudeuse, il sourit et lui intima l'ordre de la retourver dehors.
- Ton ombre gigantesque t'a laissé sa carte de visite ...
- Montres !
- Non, je laisse Madame s'habiller en toute intimité !
- Pour le nombre de fois où tu m'as vu nue, dit-elle en joignant le geste à la parole, elle se déshabilla et enfila aussi rapidement une tenue plus décente pour se promener à travers Brest. Elle prit la main de Lucas et l'entraîna dans sa course folle, afin de rejoindre la réception qui leur indiquerait surement les visiteurs de sa chambre.

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- Bonjour, pourriez-vous me dire qui est passé me voir, Marie Fersen, chambre 222 ?
Le réceptionniste regarda une liste puis répondit :
- Désolé, mais personne n'est venu pour vous, à part M. Fersen.
Marie et Lucas se regardèrent interloqués. Comment ce mot avait-il donc pu atterrir dans la chambre ?
- Vous êtes vraiment sûr ? insita Lucas près à se mettre en colère.
Pas de réponse.
- Je suis le Commandant Fersen de la Brigade de...
Le voyant sur le point de s'énerver, Marie posa sa main sur le bras de Lucas pour l'interrompre.
- Ce n'est pas grave, merci quand même, dit Marie au réceptionniste apeuré.

- Calme-toi, ce n'est pas de sa faute.
- Je suis sûr qu'il ment ! Le papier n'est pas venu jusqu'ici tout seul à ce que je sache...
Marie sourit. Il fallait toujours qu'il en fasse des tonnes quand il s'agissait d'elle.

Après avoir signé une décharge, ils sortirent de l'hôpital.

Date d'inscription : 01/01/1970

Le vent soufflait fort sur la côte Léonienne et les cheveux de Marie, raccourcis récemment aux épaules, aidèrent les quelques rayons de soleil à colorer sa chevelure.

Le réceptioniste les rattrapa en courant. Il était essouflé :
- Apparement l'infirmière de garde m'a dit qu'un médecin était passé plusieurs fois vérifier vos constantes vitales. Jusque là rien d'anormal, mais elle a surprit le médecin en train de vous caresser doucement les cheveux et de vous embrasser sur le front, rougit-il devant l'air menaçant de Lucas. Elle a relevé son nom, Erwan Locquminec, afin d'en discuter avec ses collègues, mais à la surprise générale, ce médecin n'existe dans aucuns registres de l'hôpital.
- Vous voyez, quand vous voulez, vous trouvez, dit en guise de réponse Lucas, en souriant d'un air narquois au médecin, convoquez moi votre infirmière. De suite ! Ajouta-t-il devant l'air interrogatif de Lucas.

Le médecin prit ses jambes à son cou et s'en alla à l'intérieur du C.H.U de Brest.

- Tu crois pas des fois, que tu en fais un peu trop ? Demanda Marie à Lucas. Viens, allons attendre l'infirmière dans le hall.

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L- Marie, le médecin en a fait peut être plus avec toi qu'on ne le pense. Quand j'y pense, si il ne t'a ne serait-ce que touché de plus, je me chargerais personnellement de son minois!
M- Tu penses que ... que j'ai été vi ... violée ?

Lucas fit non de la tête.

L- Je n'espère pas en tout cas.

L'infirmière arriva.

L- Bonjour madame. Commandant Lucas Fersen. C'est quoi cette histoire ?
I- J'ai déjà tout dit au récéptionniste. Je suis vraiment désolée mais ... il avait posé sa veste blanche de personnel d'hôpital sur la chaise et quand je suis rentrée, je lui ai demandé si il était le mari de madame et il m'a répondut gêné que non il était son médecin.
L- C'est tout ?
I- Oui.
L- Très bien Merci !

Marie et Lucas sortirent de l'hôpital et rejoignirent les parents de celle-ci à Ty Kern.

M- Lucas, je ... je suis désolée pour ... pour le bébé.
L- Je préfère avoir ma femme en vie à mes côtés. Un bébé, on pourra en avoir un plus tard. Tu sais que je rêve que d'une chose c'est d'être père d'un enfant de la femme que j'aime.

Marie lui souria, avec une tendresse infinie. Elle se blotti contre lui alors que le bac glissait sur la houle vers Ty Kern. Elle frissonnait, malgré son manteau.

L- Tu as froid ?
M- Oui un peu.
L- Toi tu vas être malade, je le sens bien comme sa, lui indiqua-t-il en lui frottant le dos de sa main.

Il lui dégagea les cheveux qui se balançait dans sa figure.

L- Ca va mieux ?
M- Oui merci, dit elle en posant sa tête sur son épaule.

Lucas lui déposa un doux baiser sur la tempe juste avant que le bac accoste. Il lui indiqua d'aller se reposer une fois rentrée et entrepris une discution avec Jeanne.

L- Je ne sais pas si pour le bien de Marie, je doit me mettre sur cette enquête. Certe la première nous a fait nous rencontrer, la deuxième nous épouser et nous aimer. La troisième pourrait bien nous séparer.
J- Je serai toi mon garçon, je lui en parlerait et tu sais que si cela te touche de trop près, ou même elle, elle fera tout pour être sur cette enquête pour te protéger. Elle t'aime trop pour te laisser en danger.
L- Vous croyez ?
J- Marie m'a confié la crainte de vous voir vous quitter tout les deux. Elle t'aime plus que tout au monde et ne rêve que d'une chose c'est d'avoir un enfant avec toi. C'est pour cela qu'elle était aussi boulversée lorsqu'elle a appris sa fausse couche.
L- Elle m'a vaguement parlé de cette crainte et de cet enfant qu'elle veut avoir avec moi.
J- Elle l'aurait fait un jour ou l'autre. Je vais devoir te laisser, je vais au marché faire quelques courses.

Lucas aquiessa et monta pour aller voir sa femme. Celle-ci dormait sur le lit conjugal et se reposait de l'épreuve qu'elle venait de subir. Lucas s'allongea à côté d'elle. Elle entrouvrit légèrement les yeux et se blotti contre l'homme qu'elle aimait avant de se rendormir. Ils restèrent là blotti l'un contre l'autre, Marie qui dormait et Lucas qui l'admirait, avant que Milic et Jeanne ne rentre.

Date d'inscription : 01/01/1970

Lucas sursauta au bruit de la porte d'entrée. Il releva la tête et écouta attentivement Jeanne et Milic qui montaient les escaliers.
- Tu penses que c'est une bonne idée d'acceuillir Marie et Lucas par les temps qui courent ? Demanda Jeanne.
- Tu sais, Jeanne, il y a bien longtemps que je n'essaie plus de penser. Baragouiner n'améne que des problèmes. Je veux vivre le peu de temps qu'il me reste en profitant de ma petite fille et de mon gendre.
- Je sais d'où Marie tient son entêtement, un curieux mélange de nos caractère, répondit Jeanne à son mari pour clore la discussion.

Lucas, parfaitement réveillé aprés son écoute, se redressa et en attrapant la couverture il la déposa délicatement sur le dos d'une Marie, en sueur, les cheveux collées aux tempes.
Il s'approcha de la fenêtre et regarda attentivement les lueurs du port qui s'endormait. Il regarda enquite avec attention le majestueux phare de Ty-Kern qui se dessinait au loin. Il eut soudain une illumination et courut attraper son portable.

- Urgences du CHU de Brest, j'écoute ?
- Etes vous l'infirmière de garde ? Demanda Lucas en guise de salutation.
- Oui, c'est celà, que puis-je pour vous ?
- Etes vous Anaïs Mercoeur, demanda Lucas en attrapant le bon de sortie de l'hôpital .
- C'est celà, mais sans vous paraitre impolie, que me vaut cette demande ?
- Lucas Fersen, nous nous sommes croisés cette aprés midi, je voulais savoir si le pseudo toubib ayant ausculté ma femme avait la soixantaine le regard bleu perçant, les cheveux gris ?
- Oui cela correspond exactement à son gabarit.
- Merci beacoup madame, conclua Lucas en raccrochant.

Maintenant il savait exactement qui avait rendu visite à Marie.

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Ryan!
Il aurait du s'en douter. Marie dormait et ne souhaitant pas la réveiller, et pour éviter un nouveau drame, il décida d'aller l'annoncer à Jeanne et Milic.

Mi- N'était-il pas mort ?
L- Mort réssucité mort à nouveau et revenant ensuite. Il joue à cache-cache avec nous depuis le début.
J- Si il a fait du mal à ma fille je ...
L- Non, il ne lui a fait aucun mal bien au contraire, il venait s'enquérir de sa santé.
J- Je l'espère mon garçon, je l'espère. Tu devrait aller dormir, il se fait tard.

A ce moment précis, Marie hurla le prénom de son mari. Celui-ci se précipita.

L- Qu'est ce qu'il y a Marie ? dit-il appeuré.
M- Rien j'ai .... j'ai du faire un cauchemard, lacha-t-elle dans un souffle.
L- Tu m'a fait une de ses frousse. J'ai cru que tu étais malade ou que tu avais un malaise.
M- Tu t'inquiète un peu trop à mon goût.
L- Quand il s'agit de la femme que j'aime oui.

Marie rougit et émi un sourire timide en détournant le regard.

L- Au fait il faut que je te dise quelque chose d'important. J'ai ... j'ai découvert la personne qui était venu de voir à l'hôpital.
M- Qui était-ce ?
L- Elle n'était pas venu pour te faire du mal. Du moins je n'en doute pas.
M- Lucas ... ne prolonge pas la conversation s'il te plait.
L- Ton père !
M- Il me l'aurait dit quand même non et puis il ne serait pas venu seul mais avec ma mère.
L- Non non, attend Marie je ne parle pas de Milic là ... mais de Ryan.
M- Quoi ?

Marie réfléchissait.

M- Si il est venu c'est qu'il se passe quelque chose d'anormal et qu'il voulait me proteger. Cette enquête à un quelconque rapport avec moi obligatoirement.
L- Tu décides quoi ?
M- On mène cette enquête conjointement toi et moi.

Lucas confia ses craintes à sa femme.

L- Marie ... j'ai peur qu'on se perde toi et moi. On s'est rencontré sur Ty Kern, on s'est marié en Irlande et là on revient à Ty Kern, tu ne crois pas que ...
M- Mais non tu te fait des idées chéri. Et puis ... nous ne mélangeons pas le boulot et la vie privée tu le sais sa. Donc je ne vois pas en quoi sa empieterai sur notre couple.
L- Tu feras attention à toi et ne te mettra pas dans ses situations houleuse comme il y a 2 ans ?
M- Lucas je ...
L- Promet le moi Marie. S'il te plait ... je ne veux pas te perdre.
M- C'est promis, fit-elle avant de l'embrasser tendrement.

Lucas lui déposa un baiser sur la tempe. Il alla prendre sa douche et rejoignit sa femme dans le lit conjugal. Quelques minutes passèrent puis Marie pris la parole.

M- Lucas je ... je ne t'en ai pas parlé mais si j'ai réagit comme sa à l'hôpital c'est que ... je ... je rêve d'avoir un enfant avec toi et ... je me sentais complètement perdu. Je ... je suis désolée.
L- Ne t'en fais pas mon ange, ce n'est rien. On pensera au bébé plus tard lorsque nous pourrons vivre une vie sereine.
M- Et si malheureusement le bébé se présente plus tôt que prévu ?
L- Si pendant l'enquête j'ai l'heureuse joie d'apprendre que tu es enceinte, nous le garderons bien évidemment que vas tu t'imaginer là ?
M- Simple question !
L- Mais par contre , je t'avertie dans ce cas .... l'enquête en sera fini pour toi, je ne voudrais pas que tu te mette en danger en étant enceinte. D'accord Marie ?
M- Mais oui ... et puis d'abord j'y suis pas encore.

Lucas rigola à cette ironie de sa femme.

L- Allez vient là, dit-il en l'invitant à venir dans ses bras.

Celle-ci se blotti dans ses bras réconfortant et ils s'endormirent paisiblement au rythme de leur respiration respective. Le lendemain fut ponctuée par le début de l'enquête. Ils rejoignirent la brigade de Ty Kern.

Date d'inscription : 01/01/1970

la suite svp j'adore trop (dsl mais je en préfère pas participer autrement je vais tout gâcher Embarassed

)

Date d'inscription : 01/01/1970

Bien sur que non !
Tu ne gâcherais rien !
Au contraire ....

Sujet: Re: Dolmen 3 par les Dolméniens. Mar 18 Mar 2008 - 14:59

Au faite pour ma suite des oubliers de Killmor je ne sais pas si je la metterais sur le net mais je peut vous donner un indice Marie sera enceinte mais par malheur le nouveau né mourra. Voila sinon je me suis rendu compte que beaucoup de personnes on pour projet d'écrire la suite de ce fabuleux livre, remarque c'est normal ici on n'est tous FAAAAAAAAAAAAAAAAAAN.lol

Date d'inscription : 01/01/1970

Ouiii.
Une fois qu'elle sera en Ligne, on pourrait demander au gens de déterminer leur préférée. Ensuite on pourrait toutes les envoyer aux auteurs !

Date d'inscription : 01/01/1970

lol ouii =D

Date d'inscription : 01/01/1970

J'ai toujours de bonnes idées xD

Sujet: Re: Dolmen 3 par les Dolméniens. Mar 25 Mar 2008 - 14:45

voila ma suite je la met si dessous

Sujet: Re: Dolmen 3 par les Dolméniens. Mar 25 Mar 2008 - 14:47

Tout était fin prêt, les tentes, la porcelaine, le tapis rouge aboutissant aux pieds de l’autel orné de Lys blancs, les bancs disposés de chaque côté du lieu où le prêtre devrait réciter la messe etc.…. Tout était organisé de manière à rendre à la terre qui l’avait élevé durant son enfance, tout l’amour qu’elle avait reçu de ses habitants. Ils voulaient que ce mariage soit parfais, ci parfais que les bancs qui devaient recevoir les invités avaient été confectionnés avec les débris du navire qui transportèrent Mary jusqu’aux côtes de Ty-Kern, ceux-ci avaient été habillés de papier crépon blanc tressés en guirlandes de façon que ce soit les objets farts de cette cérémonie. Le jeune couple avait eut la merveilleuse idée de célébrer pour la seconde fois leur mariage en compagnie des parents adoptifs de Marie. Après tout, c’est eux qui avaient tout fait pour lui donner tout le réconfort qu’elle aurait eut besoin pour grandir comme une enfant ordinaire et tenté de lui faire oublier son terrible passé. Mais une chose était passée au travers de leur attention, Marie était hantée par des cauchemars retraçant pas seulement son passé mais aussi celui de l’homme qu’elle aime plus que tout au monde. C’est ainsi qu’en Irlande, le spécialiste des crimes rituels et sa femme avaient fait la lumière sur le secret des occupants de l’île de Killmor et avaient par mégarde découvert la sinistre enfance de Lucas qui se prénomme en réalité Quentin Renault. Il avait eut la malchance d’apprendre les pratiques de ses parents durant leur jeunesse et de se retrouver face à face avec son père qui mourut avec la satisfaction d’avoir révélé à son fils l’horrible fardeau qu’il gardait dans son cœur depuis toutes ces années. L’histoire c’était achevée comme celle d’un an auparavant, Ryan plongeant dans ces eaux ténébreuses et ne refit plus surface.

Quelqu’un venait de frapper à la porte, c’est ce qui fit sortir Marie de ses pensées, elle se contemplait avec gaitée dans son miroir vêtue d’une robe scintillante, fabriquée avec des kilomètres de soie. Son reflet lui donnait une impression de déjà vu, serai-ce un jour avant son mariage avec Christian qui ne vit jamais le jour ? Certainement !

Jeanne entra dans la chambre de sa fille qui fut inanimée pendant de longs mois et entreprit d’éveiller la jeune femme :

_ « Marie, il est temps, cela fait une heure que tous les invités sont arrivés pour te voir et n’oublie pas ton père qui ce tient en ce moment même debout pour t’accompagner à ton époux. »

_ « Tu as raison maman, je part de suite le rejoindre mais tu peux pas savoir à quel point j’ai le trac. »

_ « Ecoutes ma fille, ce jour doit être pour toi, le second plus beau jour de ta vie alors n’oublis jamais chaque instant que tu vas vivre aujourd’hui et surtout rappelle-toi des émotions qui t’animeront du bras de ton père au baisé de l’homme de ta vie. »

Pour seule réponse Marie glissa un léger baisé sur la joue de sa mère et franchit le seul de la porte avec un sourire jusqu’aux oreilles. Elle pouvait prouver pour la seconde fois à Lucas son amour envers lui. Elle descendit avec délicatesse les escaliers et s’évanouit pendant un millième de secondes, elle venait d’être prise d’un tel haut de cœur, que cette nausée prit possession de son corps tout entier. Heureusement rien de grave, elle se releva et prit son paternelle par le bras, son visage était barbouillé malgré ses efforts pour le dissimuler.

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Superbe Début !
Bravo !

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Y'aime bien ! Continue ! Very Happy

Date d'inscription : 01/01/1970

Ouii !
Mais Ouvre un nouveau Topic Smile

j'ai écrit encore 5 pages

Date d'inscription : 01/01/1970

Et Tu les postes pas? :p

http://ecrivainenherbedu63.skyrock.com/
C'est mon blog spéciale mon livre.

Date d'inscription : 01/01/1970

Merciii du lien !! Very Happy